Penser à nous faire part de vos sentiments, après avoir contacté nos bénévoles accueil ou litiges, votre parole est essentielle…
Faites-nous le savoir par mail à : contact@cotedor.ufcquechoisir.fr
Vous trouverez ci-dessous des remerciements et des témoignages de consommateurs qui ont contacté notre Association Locale UFC-Que Choisir de Côte d’Or :
– Mme M.B. – 21000 Dijon (08-2020) : Suite au traitement d’un retour postal de la revue Voir & Savoir avec la mention « Destinataire inconnu à l’adresse ». L’adhérente concernée, contactée par téléphone, pour mise à jour de ses coordonnées nous a proposé de lui envoyer la revue de manière dématérialisée via la messagerie Internet. En retour, nous avons reçu ce message bien sympathique : « Bonjour Monsieur, j’ai bien reçu le numéro Voir et Savoir et je vous en remercie. Tout comme de vous être soucié de la mise à jour de mes informations. Merci pour votre engagement à l’association, toujours aussi utile. Bien à vous ».
– M. J. R. – 21130 Auxonne (08-2018) : Je vous adresse ce courrier pour vous faire constater le manque d’hygiène dans la qualité (bio) du beurre frais dont la date limite était le 26 juin, dont je viens de faire l’acquisition. J’ai ouvert cette plaque de beurre le dimanche midi pour accompagner des radis du jardin. Quelle horreur, l’odeur forte de rance voire plus encore s’en est dégagé. J’ai donc en cliente sympa reporté la plaquette à la chef de rayon. Cette jeune dame sans excuser «Leclerc» me conseille d’aller en prendre une autre dans le rayon. Là je réagis, exigeant le remboursement de l’article, ce qui a provoqué une réelle colère de ladite «chef de rayon». Cette jeune personne a encore beaucoup à apprendre. Nous, les consommateurs, sommes obligés de tout contrôler pour ne pas se faire voler : les étiquettes, les prix, les notes, la provenance… Après cette mauvaise aventure je reste très méfiante sur la qualité «bio». Pouvez-vous opérer plus de contrôlesafin d’obliger les producteurs et commerçants à plus de sérieux et d’honnêteté ?
– Mme M.J. – 21160 Marsannay-la-Côte (08-2018) : Faisant mes courses au magasin Grand Frais de Marsannay-la-Côte, je m’apprête à payer ma note de 81,54 € au moyen d’un chèque de la BPBFC. Le chèque est refusé par la machine qui l’imprime en caisse, j’en propose un second, refusé également. Je ne comprends pas, la caissière suggère que le banque est responsable de ce dysfonctionnement et me demande de payer par carte. Avant d’obtempérer, je propose à la caissière de contacter l’entreprise responsable de ces machines pour avoir des explications. Elle appelle une supérieure ce qui prend 30mn. La responsable des caisses me fait venir près d’elle et attendre 30 mn qu’elle fasse passer ses clients. Puis je paie par carte Visa : code bon, paiement accepté, donc mon compte n’est pas à découvert. Je demande à voir le ou la responsable du magasin. Au lieu de me donner accès à cette personne, on me donne au bout de 20 mn avec un air contrit, un rectangle de papier totalement anonyme qui informe celui qui le lit que son chèque est classé par la Banque de France parmi les chèques irréguliers et refusés, avec l’adresse de la Banque de France que l’on ne peut joindre que par écrit. Je contacte ma conseillère financière qui gère mes compte à la Banque populaire, qui, très étonnée consulte les fichiers concernant mes comptes à la Banque de France : absolument aucune opposition, ni irrégularité. Visiblement, Grand Frais ne voulait pas accepter un chèque de ce montant. Il aurait dû m’en informer autrement qu’en cherchant à m’intimider et à me traiter de façon infantilisante. Ils ont perdu une cliente !
– M. M.P. – 21000 Dijon (08-2018) : Suite à notre rencontre avec votre avocat, j’ai adressé un courrier au magasin avec lequel j’avais un litige. Par retour celui-ci m’a demandé un RIB en vue du remboursement de l’acompte de 5 000 € que j’avais versé, ce qui a été fait le lendemain. Je viens par conséquent vous remercier de votre aide qui a été déterminante dans ce bras de fer avec cette société.
– Mme R. GG – (06-2018) : Cette année je suis heureuse de vous faire un don en remerciement, car le 11 septembre 2017 ayant eu besoin d’UFC-Que Choisir pour un chèque encaissé qui devait être détruit. Quatre jours après votre intervention la somme était virée sur mon compte.
Je remercie les deux conseillers litiges qui m’ont aidée.
– Mr A-M. D. – 21000 (06-2018) : Je vous adresse ma ré-adhésion 2018, avec mes remerciements pour votre action, votre disponibilité, votre compétence, votre solidarité et votre accueil, en particulier au conseiller qui m’a apportée son aide.
– M. J. M. – 21240 TALANT (03-2018) : J’ai reçu il y a peu de temps vos remerciements à la suite de mon réabonnement à la revue «Voir et Savoir». Or, c’est à moi de vous remercier pour tous les conseils, les recommandations, les informations, les mises en gardes que vous nous prodiguez. Toutes nos activités sont jalonnées de «chausse-trapes», de fausses ou d’absences d’informations, de pièges, d’abus de position dominante, d’oublis, d’à peu près, de dissimulations, de refus de reconnaître, de contrats borderline voire avec clauses abusives, de lobbies prêts à défendre l’indéfendable, de publicités mensongères voire de tromperies ou d’arnaques dans le seul but de s’enrichir sur le dos des consommateurs dont je fais partie. Un exemple d’abus de langage : chez l’épicier une cagette de tomates bio ne devrait-elle pas être étiquetée tout naturellement «tomates» et les autres «tomates avec pesticides » ? car actuellement l’affichage «tomates» désigne des tomates avec pesticides. Les consommateurs ont certes leur part de responsabilité ; ils font preuve de peu de tempérance et ce sont les spectateurs qui alimentent les salaires démesurés des joueurs de foot. Face au pouvoir de l’argent, il y a le pouvoir des consommateurs auquel j’adhère pleinement. C’est pour cela que je remercie le personnel, les bénévoles et les adhérents de l’UFC qui, par leurs enquêtes, leur expérience, leurs expertises, leurs réclamations nous conseillent, nous informent et nous défendent par les voies du compromis, du gré à gré ou de la justice. Vous pouvez compter sur mon adhésion encore bien des années.
– Mme F. et M. P. – 21800 Quetigny (03-2018): Je vous remercie pour l’excellent travail fourni par votre association dans notre dossier, ce qui nous a permis d’obtenir un résultat favorable à notre important problème d’ordre matériel. Sans votre intervention nous n’aurions probablement pu aboutir, étant donné sa nature. Nous vous félicitons, en outre, pour votre totale implication et pour votre investissement dans le suivi de notre dossier ce qui a permis à cette affaire de connaître un dénouement aussi heureux.
– Mme B. – 21000 Dijon (03-2017) : Je profite de l’occasion qui m’est donnée pour vous remercier de vos démarches me concernant et féliciter votre Association qui s’investit de façon désintéressée pour résoudre les problèmes d’autrui.