UFC-Que Choisir de Côte d'Or

L’UFC-Que Choisir de Côte d’Or se mobilise pour la qualité de l’eau

Mobilisation pour la qualité de l’eau dans la Région de Grancey-le-Château

–> Communiqué de Presse du 17  janvier 2022

–> Article du Bien Public du 29 janvier 2022

 

 

30 janvier 2022

Arnaque : des banquiers très bien imités

Une escroquerie consistant à vous faire confirmer des opérations de paiement à votre insu est en pleine recrudescence.

Votre soi-disant conseiller bancaire vous appelle et vous demande d’annuler – ou de valider – des opérations frauduleuses sur votre compte, raccrochez !

Depuis quelques mois, les récits de consommateurs piégés s’enchaînent dans nos associations locales. Le procédé, proche de celui qui avait touché des clients de la Banque ING, est toujours le même : une personne vous appelle et se présente comme votre conseiller bancaire. Le numéro affiché sur votre téléphone correspond à celui de votre établissement. Votre interlocuteur vous indique avoir repéré des mouvements frauduleux sur votre compte bancaire…

Lire la suite de l’article paru dans le Quechoisir.org du 27 janvier 2022

29 janvier 2022

Électricité : le fournisseur Bulb cesse ses activités

La hausse spectaculaire des prix de gros de l’électricité continue de faire des victimes chez les petits fournisseurs d’électricité

Dernier en date, Bulb. Planète Oui pourrait suivre…

–> Lire la suite de l’article paru dans Quechoisir.org du 25 janvier 2022

26 janvier 2022

Produits en panne : de plus en plus de pièces détachées d’occasion

Depuis le 1er janvier 2022, les réparateurs de matériel informatique, d’appareils électroménagers et d’équipements médicaux doivent proposer des pièces détachées d’occasion en cas de panne.

–> Lire la suite de l’article paru dans le Quechoisir.org du 17 janvier 2022

20 janvier 2022

Fioul : achats groupés 2022 pour faire le plein d’économies

Le prix du fioul est reparti à la hausse, l’UFC-Que Choisir de Côte d’Or appelle les consommateurs du département à faire baisser leurs factures

J’accède au Communiqué de Presse du 16 janvier 2022

Retour à l’Accueil

16 janvier 2022

Présidence française du Conseil de l’UE : l’UFC-Que Choisir publie sa feuille de route

Alors qu’Emmanuel Macron ouvre officiellement aujourd’hui la présidence française du Conseil de l’Union européenne (PFUE) en accueillant le Collège des Commissaires, l’UFC-Que Choisir rend publique sa feuille de route pour une consommation plus responsable et durable. Convaincue que c’est en répondant aux besoins du quotidien des citoyens, que l’Europe pourra regagner leur confiance, l’association appelle le Président de la République à se saisir de la politique de consommation pour faire de cette opportunité un véritable succès pour tous les Européens.

Près de 14 ans après avoir assuré la présidence du Conseil de l’Union européenne, la France occupe à nouveau cette fonction jusqu’au 30 juin 2022. Stratégique, cette position lui permet d’influer sur l’agenda européen et de faciliter les négociations entre États membres pour obtenir des accords qui, s’ils sont ambitieux, auront des conséquences bénéfiques concrètes pour les consommateurs.

Alors que la Commission européenne avait ouvert le champ des possibles en présentant plusieurs réformes clés de la politique de consommation, Emmanuel Macron a totalement fait l’impasse sur ces dossiers phares au cours de son allocution de décembre. L’UFC-Que Choisir entend rappeler au partisan du « Monde d’après », plus sobre et responsable, qu’il ne pourra voir le jour qu’avec l’aide des consommateurs.

Adapter la législation européenne au développement du commerce en ligne

Pour aider les consommateurs à faire face aux défis liés à l’essor du commerce en ligne, la présidence française collaborera à la mise à jour de textes législatifs clés.

La première concerne le règlement sur la sécurité générale des produits. 20 ans après leur entrée en vigueur, ces règles doivent être révisées de toute urgence. Elles doivent notamment s’adapter au développement du commerce en ligne, à l’apparition de nouveaux intermédiaires venant bouleverser le fonctionnement du marché, ainsi qu’aux nouvelles technologies. Alors que l’UFC-Que Choisir a tiré la sonnette d’alarme sur la défectuosité de nombreux smartphones testés (1), ses homologues européens ont démontré (2) que sur un large panel de produits achetés sur les places de marché en ligne, 2/3 d’entre eux présentent de sérieux risques pour les consommateurs (détecteurs de fumée et de monoxyde de carbone défaillants, jouets contenant des produits chimiques dangereux…). Sans plus attendre, il faut donc mettre à jour cette législation obsolète en clarifiant la responsabilité des places de marché (en cohérence avec le Digital Services Act), en prenant en considération les produits connectés et en renforçant l’efficacité des rappels.

La seconde vise la directive sur le crédit à la consommation. Ces dernières années, de nouvelles formes de prêts irresponsables ont fait leur apparition. C’est notamment le cas de la déferlante des minicrédits sur internet ou des locations de longues durées, dont les dérives criantes en termes de frais, mises en évidence par l’UFC-Que Choisir (3), résultent d’une désolante permissivité de la législation européenne. L’association appelle donc à une extension du champ d’application de la directive afin de mettre fin à leurs passe-droits, à un accompagnement efficace des emprunteurs en difficulté, ainsi qu’à une interdiction du démarchage, technique de vente dangereuse qui conduit à la souscription précipitée de crédits non-sollicités.

Favoriser une consommation responsable

À l’occasion de sa présidence, mais également au-delà, la France doit s’engager en faveur de modes de production et de consommation plus durables. Dans le cadre du paquet énergie-climat (Fit for 55), elle doit œuvrer à la définition de mesures concrètes et ambitieuses, telles que l’instauration d’une obligation de résultat à la charge des professionnels en matière de performance des travaux rénovation énergétique des logements ainsi qu’une taxation de l’énergie plus équitable au service de la transition énergétique.

Les consommateurs sont des acteurs fondamentaux de la transition, et tout doit être fait pour leur donner une information pertinente et fiable leur permettant d’orienter leurs choix de consommation vers les produits les plus respectueux de l’environnement. À ce titre, la présidence française devra non seulement défendre un indice de réparabilité européen ambitieux (4), mais également, impulser une dynamique permettant la mise en œuvre européenne la plus rapide possible de l’indice de durabilité pour les produits électroménagers et du score environnemental pour l’alimentation sur la base de méthodologies robustes, en phase avec les attentes des consommateurs.

Convaincue que défendre les intérêts consuméristes permettra de transformer concrètement le quotidien des Européens, l’UFC-Que Choisir, membre fondateur du BEUC, publie sa feuille de route et entend se mobiliser pour que la PFUE fasse avancer des dossiers clés intéressant les consommateurs, notamment à l’occasion du Sommet européen des consommateurs de février.

Cliquer pour télécharger la feuille de route

Source quechoisir.org du 06/01/2022

8 janvier 2022

Urgences : forfait fixé à 19,61 €

Depuis le 1er janvier, un « forfait patients urgences » remplace les divers frais facturés jusqu’alors pour un passage aux urgences sans hospitalisation

Son tarif est unique, il est fixé à 19,61 €

Il en est question depuis plus d’un an et demi, mais pandémie et ajustements techniques obligent, son entrée en vigueur a tardé. Le « forfait patients urgences » (FPU), redevable pour chaque passage dans un service d’urgences sans hospitalisation, est appliqué depuis le 1er janvier.

Le tarif unique

Son tarif, unique, est fixé à 19,61 €. Il sera pris en charge, selon la situation de la personne soignée, par la complémentaire santé, la complémentaire santé solidaire ou l’Aide médicale d’État.

Le tarif réduit

D’un montant de 8,49 €, le forfait patients urgences minoré est réservé aux accidentés du travail avec incapacité de moins des 2/3 et aux personnes bénéficiaires du régime d’affection de longue durée (ALD). Pour elles, le FPU représente un coût nouveau, puisqu’elles étaient jusqu’alors exemptées de reste à charge aux urgences. Il leur faudra faire jouer la complémentaire pour se faire rembourser.

Les exemptions

Les femmes enceintes passé le 5e mois de leur grossesse, les bébés de moins de 30 jours, les accidentés du travail présentant une incapacité de plus des 2/3, les donneurs d’organe, les enfants victimes de sévices sexuels, les victimes d’attentats, sont dispensés du forfait patients urgences.

Les personnes sans complémentaire

Les personnes dépourvues de toute couverture complémentaire devront s’acquitter du FPU. Pour autant, rien de bien neuf pour elles. Le FPU ne fait que remplacer le forfait accueil et traitement des urgences (ATU) appliqué jusque-là, auquel pouvait s’ajouter le ticket modérateur sur les soins reçus (20 % du coût des actes). Le forfait accueil patient plafonne et unifie les frais facturés après passage aux urgences.

Source quechoisir.org du 05/01/2022

6 janvier 2022

Commerce : l’adieu au bon vieux ticket de caisse

À compter du 1er janvier 2023, les tickets de caisse, les facturettes de CB et les bons d’achat ne seront plus systématiquement imprimés

« Est-ce que vous voulez le ticket de caisse ? » La question vous est posée de plus en plus fréquemment lorsque vous faites vos courses en grande surface. Bientôt cependant, ce ne sera plus le cas. À compter du 1er janvier 2023, selon les dispositions de l’article L. 541-15-10 du Code de l’environnement, les tickets de caisse, les facturettes de carte bancaire ainsi que les bons d’achat ne seront plus imprimés automatiquement. Les professionnels pourraient toutefois toujours vous proposer de les éditer.

Alors, totalement ringard, le ticket ? Les tonnes de papier utilisées ainsi chaque année nuiraient à l’environnement, tandis que le coupon lui-même contiendrait des perturbateurs endocriniens, dangereux pour notre santé. D’où cette décision de le supprimer. Ce n’est pas une blague ! mais un amendement très sérieux qui découle de la loi dite « antigaspi » pour une économie circulaire. Celle-là même qui a déjà interdit les sacs et couverts en plastique à usage unique, et qui vise la suppression des emballages dans le même matériau, tels que les blisters autour des piles et des ampoules, d’ici à fin 2025. En bons élèves, Carrefour comme Système U ont anticipé ; les deux enseignes ne sortent plus de ticket de caisse dans quelques magasins pilotes. Les calculs ont été faits. Chez Système U, on constate qu’en moyenne, 40 % des clients répondent ne pas en vouloir si on le leur demande lors du passage en caisse. À terme, ce pourcentage, rapporté au 1,2 million de bobines employées par U pour éditer les factures, pourrait représenter chaque année une économie de 44 077 km de papier, soit un peu plus que la circonférence de la planète… Vu sous cet angle, l’enjeu interpelle.

Une preuve d’achat utile ?

« La suppression de l’impression systématique est aussi une question de santé, plaide Patricia Mirallès, députée de la première circonscription de l’Hérault et à l’origine de cet amendement. J’ai appris, en lisant une étude scientifique japonaise datant de 2006, que les tickets de caisse contenaient du bisphénol F ou S, un perturbateur endocrinien qualifié de dangereux pour la santé et l’environnement, poursuit la parlementaire. Je me suis alors dit qu’ils n’étaient pas nécessaires pour de petites sommes, notamment quand vous achetez un café ou que vous passez à la boulangerie. C’est d’autant plus inutile que la plupart du temps, vous jetez votre ticket aussitôt après l’avoir reçu ! »

Du côté des associations de consommateurs, dont l’UFC-Que Choisir et l’Association Force ouvrière consommateurs (Afoc), le point de vue est tout autre. « Le ticket de caisse s’avère bien souvent, pour le consommateur, un élément de vérification de ses achats, mais pas seulement. Il sert également de preuve en cas de défaut du produit acheté, ou bien tout simplement si l’on souhaite échanger ou se faire rembourser un article », indique Matthieu Robin, chargé d’étude à l’UFC-Que Choisir. Avec la suppression des coupons papier, l’association relève également un risque accru de fraudes et de litiges. « Cela concernerait notamment le sans-contact, précise Matthieu Robin. Sur les terminaux de paiement, il est tout à fait possible que le commerçant tape le montant à payer sans que le client le voie s’afficher. Le ticket est alors son seul moyen de vérifier qu’il règle bien la somme qu’il doit au professionnel. » Il en va de même pour les facturettes de carte bancaire. Si l’acheteur en exprime la demande, une solution pourrait être de lui envoyer son ticket de caisse via sa messagerie Internet. « Mais aujourd’hui encore, tous les consommateurs ne disposent pas d’un accès numérique », rétorque le chargé d’étude de l’UFC-Que Choisir.

Bénéfice incertain

Quant à l’effet positif pour la planète, il n’est pas certain. L’e-mail est une façon rapide et pratique de communiquer, mais son utilisation n’est pas sans conséquence pour l’environnement. Accompagné d’une pièce jointe, un courriel émet 19 g de CO2. Pris individuellement, l’impact est faible, mais quand on le multiplie par 34 millions de messages envoyés toutes les heures (sans compter les spams !), il en va tout autrement… Autre problème soulevé : si la fin de l’impression systématique du ticket de caisse prévue dans les textes laisse au client la responsabilité de demander une preuve d’achat écrite, l’enseigne doit, pour sa part, recueillir ses données personnelles, notamment son e-mail. « Cela peut laisser craindre au consommateur qu’on les utilise pour d’autres fins. Qui lui dit que, demain, il ne recevra pas, avec son ticket de caisse, une promotion sur un produit ou toute autre publicité ? », souligne Matthieu Robin. Jean-Michel Chanavas, délégué général de Mercatel, une association spécialisée dans le suivi des évolutions technologiques des moyens de paiement dans le commerce, complète : « Il faudrait proposer au particulier un formulaire à cocher, où il devrait indiquer clairement s’il autorise ou non l’usage multiple de ses données personnelles. Or, si investir dans de nouvelles solutions technologiques est assez facile pour les enseignes de la grande distribution, pour le commerçant de quartier, déjà noyé par les contraintes administratives et celles liées au covid, cela risque d’être le coup de grâce. » De toute évidence, la mesure est loin de faire l’unanimité, du côté des professionnels comme des consommateurs…

Source quechoisir.org du 03/01/2022

5 janvier 2022

Les faits marquants de l’année 2021

Alors que 2022 débute, c’est l’occasion pour nous de partager avec vous, au travers de quelques faits, les meilleurs moments de l’année qui vient de s’écouler !

• Nous avons dépassé les 220 000 abonnés au site QueChoisir.org

• 79 newsletters consuméristes ont été envoyées aux 660 000 inscrits

• Des milliers de produits ont été testés et commentés par nos experts

• Nous avons publié un nouvel ouvrage : Décrypter les produits du quotidien

• 224 lettres types consultables gratuitement en ligne

• Nous sommes intervenus des centaines de fois dans les médias radio, télévision et Web

• Nos vidéos YouTube ont été visionnées des millions de fois et notre chaîne compte 89 000 abonnés

• 117 000 abonnés Facebook, 56 000 followers Twitter et 14 000 abonnés Instagram

• Le forum a été fréquenté par des millions de visiteurs et des centaines de milliers de messages ont été postés.

• L’année 2021 a marqué un cap important pour notre association puisqu’elle a fêté ses 70 ans. Pour honorer sept décennies de combats et d’engagements aux côtés des consommateurs, l’UFC-Que Choisir, dans toutes ses composantes, a fait le tour de France en van pour promouvoir la consommation responsable à travers plusieurs animations et outils.

• Dans le cadre de la promotion d’une consommation plus sobre et responsable, d’importants succès juridiques ont été enregistrés en 2021 aux niveaux local, national ou encore européen, avec notamment l’annulation, à notre initiative, par le Conseil d’État de plusieurs dispositions sur l’épandage de pesticides près des habitations, la condamnation (en cours d’appel) de Servier et de l’Agence du médicament dans le procès du Mediator, ou encore les premières réactions de la Commission dans le cadre de nos plaintes européennes contre l’obsolescence organisée des manettes Nintendo Switch ou contre la problématique utilisation des données personnelles et protection des mineurs par Tik Tok.

• Du point de vue législatif aussi, il y a eu de belles avancées : au niveau européen, une grande majorité des parlementaires ont voté POUR le principe d’un étiquetage nutritionnel harmonisé obligatoire dans toute l’Union européenne. De même, alors que le pouvoir d’achat est une préoccupation majeure dans le contexte de la flambée des prix, l’UFC-Que Choisir se félicite de l’adoption par l’Assemblée nationale de sa proposition d’une possible résiliation à tout moment de l’assurance emprunteur, permettant aux assurés de pouvoir réaliser plusieurs milliers d’euros d’économie sur la vie de leur contrat.

• De nombreux combats restent bien évidemment à mener mais nous savons pouvoir compter sur votre mobilisation (vous êtes déjà plus de 370 000 à avoir signé notre pétition pour l’interdiction par l’Union européenne du glyphosate) pour peser sur les décideurs.

• Pour être informés et soutenir nos combats, nous vous rappelons que vous pouvez devenir adhérent sympathisant pour 15 euros par an.

Ensemble, pour une consommation responsable.

2 janvier 2022

Permanence UFC-Que Choisir de Beaune

Permanence UFC-Que Choisir de Beaune

Espace Bretonnière – 1, rue des Vignes – 21200 Beaune

  • Le Samedi de 9h00 à 12h00

En raison de la crise sanitaire, il est recommandé d’appeler le 03 80 43 84 56 (notre permanence accueil avec les horaires ci-dessus) afin de prendre Rdv en fonction du litige à traiter.

J’accède au Tableau des Permanences Litiges avec les jours et les horaires d’accueil du public

Téléphone : 03 80 43 84 56  ou Courriel : contact@cotedor.ufcquechoisir.fr

L’Union Fédérale des Consommateurs Que Choisir de Côte d’Or donne à tout consommateur une information générale ou un renseignement simple sur vos droits, elle peut également vous accompagner dans la résolution de votre litige de consommation, face à un Professionnel, si vous en devenez adhérent.

2 janvier 2022